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L’affect de la multipolarité géopolitique sur la sécurité crypto
10h13 ▪
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Au cours des dernières décennies, de nombreux analystes ont fait valoir que le monde se dirigeait vers une forme de multipolarité géopolitique. On voit, en effet, plusieurs pays vouloir jouer un rôle plus essential sur la scène politique internationale aux côtés d’acteurs traditionnels comme les États-Unis. Cette tendance ne serait pas worthwhile pour la crypto. Voici pourquoi.
La multipolarité géopolitique, une réelle menace
La géopolitique actuelle n’est plus ce qu’elle était il y a quelques années. Les récentes données autour des ambitions des BRICS le montrent. Les pays regroupés au sein de cette organisation travaillent activement à peser de tout leur poids sur l’échiquier géopolitique world.
Comme ils l’ont réaffirmé lors du récent sommet des BRICS, leur plan est de promouvoir un monde multipolaire. Un scénario géopolitique dans lequel le pouvoir et l’affect seraient répartis entre différents acteurs mondiaux.
À première vue, ces ambitions sont louables et souhaitées, notamment pour les pays qui n’ont aucune aura dans le live performance des nations. Puisqu’il est en fait query de contrebalancer l’unipolarité occidentale, promue par les États-Unis et leurs alliés, et ses conséquences désastreuses.
Pourtant, à l’analyse, cette politique pourrait ne pas faire l’affaire de l’industrie crypto globale. La multipolarité géopolitique pourrait avoir de graves conséquences pour le développement de la cryptomonnaie.
Plus particulièrement, la multipolarité géopolitique ferait peser un risque à 51 % sur le bitcoin. Il s’agit d’une faille sécuritaire qui permet à une entité de contrôler plus de 50 % de la puissance de minage du réseau.
Pour évaluer cette menace, il faut se rendre compte de l’affect politique que peuvent exercer des dirigeants tels que Vladimir Poutine et Xi Jinping. Déjà, ces deux dirigeants ont adopté des positions hostiles à l’égard de Bitcoin et de sa crypto native.
Résultat : la Russie et la Chine ne sont pas considérées comme des terres d’accueil pour la crypto. La tendance pourrait s’accentuer puisque les différents pays poursuivent déjà des approches diverses en matière de crypto.
Alors que l’adoption des cryptos ne fait pas encore l’unanimité, la state of affairs de leur bannissement n’est pas à exclure. Surtout dans l’éventualité, un peu extrême, qu’une puissance homogène aux tendances dictatoriales domine la géopolitique globale.
Cette dernière peut donc influencer la notion globale du bitcoin. Et à mesure que les régimes autoritaires se répandent, la place du monde à l’égard des cryptomonnaies pourrait s’éloigner de son libéralisme actuel.
En définitive, un ordre mondial fondé sur une réglementation crypto consensuelle est dans le meilleur intérêt de l’industrie. Peut-être nous dirigeons-nous vers une model 2.0 de la conférence du GATT, mais pour les cryptos ?
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Diplômé de Sciences Po Toulouse et titulaire d’une certification marketing consultant blockchain délivrée par Alyra, j’ai rejoint l’aventure Cointribune en 2019.
Convaincu du potentiel de la blockchain pour transformer de nombreux secteurs de l’économie, j’ai pris l’engagement de sensibiliser et d’informer le grand public sur cet écosystème en constante évolution. Mon objectif est de permettre à chacun de mieux comprendre la blockchain et de saisir les opportunités qu’elle offre. Je m’efforce chaque jour de fournir une analyse goal de l’actualité, de décrypter les tendances du marché, de relayer les dernières improvements technologiques et de mettre en perspective les enjeux économiques et sociétaux de cette révolution en marche.
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